Le
24janv. 2019
Chacun de ces hommes a un rapport différent à la danse. Il y en a sûrement un qui la vit comme une évidence depuis toujours, l’autre qui l’aime à la folie et celui qui n’avait pas prévu de lui succomber. Néanmoins, ils ne sont qu’un seul et même personnage, interchangeables et en relais permanent. C’est de cette confusion, propre à l’abandon, que va naître l’absurde du récit dramaturgique et chorégraphique. Ces trois hommes sont complémentaires. On ne dit pas l’amour d’une seule voix.